• Le stockage des déchets sous forme de décharges à ciel ouvert à proximité du littoral et des lagons.
  • Les « iles  poubelles »  qui sont de véritables bombes à retardement à la merci  de la première catastrophe naturelle venue. (Cyclone, Tsunami, montée des eaux).
    • Le Tsunami de 2004 a, par exemple,  éparpillé la plupart des décharges à ciel ouvert de la région, notamment aux Maldives où l’ile poubelle de Thilafushi, rasée, a pollué 170 iles et ilots à proximité. 
  • Les Comportements et usages:  La mer est souvent considérée comme une décharge, Les déchets y disparaissent de la vue très rapidement empêchant toute prise de conscience individuelle ou collective.
  • Le manque de moyens et ou de volonté politique sont autant de freins à une amélioration significative de la situation.
  • La pêche hauturière est responsable, quant à elle, d’une grande partie de la pollution plastique issue des activités nautiques et maritimes. Les filets dérivants (Ghostnets) pouvant peser plusieurs centaines de kilos et constituant de véritables écueils flottants, sont un véritable fléau pour toutes les espèces marines.
  • Le transport maritime est enfin montré du doigt. Les déversements par dessus bord, les containers (*) perdus ou abandonnés en mer lors de tempêtes et qui libèrent un jour ou l’autre leur cargaison sont autant de sources de pollution plastiques marines.
    • C’est ainsi que 80 000 paires de chaussures de sports (Nike) se sont retrouvées en 1990 à la surface de l’océan. En 1997, c’est une invasion de quelques 5 millions de pièces de Lego qui se sont retrouvées sur les plages de l’Angleterre.
  • Négligence et actions délibérées complètent ce tableau.

L’association OCEANOPLASTIC

 ONG à vocation environnementale

ONG à vocation environnementale visant à lutter contre cette pollution auprès des populations littorales.

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Sensibiliser, informer, éduquer

Sans information pertinente sur les conséquences de la pollution plastique océanique, aucune prise de conscience possible. 

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Responsabiliser, Accompagner

Seule une information bien comprise permettra la repsonsabilisation de chacun. Les populations littorales sont les premières visées, mais aussi sur les cours d’eau intérieurs.

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AGIR à la source pour corriger

Nos collectes sont limitées. Elles ont pour unique objectif d’identifier des sources de pollution, d’en déterminer les causes et de trouver les moyens de les éradiquer.